Ouganda : Le Gabon présent au Colloque mondial des Régulateurs (GSR-24)
KAMPALA (Equateur) – Le Colloque Mondial des Régulateurs en anglais Global Symposium of regulators (GSR) s’est tenu du 1er au 4 juillet dernier au Speke Resort and Convention Center de Munyonyo, à Kampala en Ouganda. L’Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (ARCEP) du Gabon a pris part à cet événement mondial, apprend-on.
Organisé par l’Union internationale des télécommunications (UIT), l’Agence des Nations Unies pour les technologies numériques, le Colloque a réuni plus de 600 participants, dont des ministres, des chefs d’autorités de régulation, des dirigeants de l’industrie et des universitaires autour du thème « Régulation pour l’impact ».
D’après une communication de l’ARCEP du Gabon, la Cérémonie d’ouverture a été marquée par la présence de Jessica Aloupo, Vice-présidente de la République d’Ouganda.
La délégation gabonaise conduite par Célestin Kadjidja, président de l’ARCEP, a également pris part, en marge du GSR-24, à la réunion du réseau de régulation numérique (DRN) des associations régionales de régulation (AR), ainsi qu’à la table ronde des dirigeants des organismes de règlementation.
Au cours de cette rencontre, il a porté la voix du régulateur gabonais sur des points tels que les défis et les possibilités auxquels les décideurs politiques et les régulateurs sont confrontés pour adopter des technologies de transformation plus efficaces ; les principales mesures réglementaires et le principe directeur à suivre pour favoriser l’impact positif et inclusif des technologies transformatrices.
Les « Lignes directrices sur les meilleures pratiques GSR-24 » approuvées par les régulateurs des TIC comprennent une série de remarques visant à équilibrer l’innovation et la réglementation, afin de créer un impact positif sur les sociétés et les économies à partir de technologies émergentes telles que l’intelligence artificielle (IA).
Ces lignes directrices sont disponibles sur le site de lUIT (www.uit.int), souligne l’ARCEP dans sa communication.
James RHANDAL