Antô winners days : Le gouvernement réitère son soutien à la plateforme

LIBREVILLE (Equateur) – A l’occasion du lancement de la 2ème édition des ‘’Antô winners days’’, ce vendredi 26 avril à Libreville, le ministre de la famille et de la décennie de la femme, Estelle Ondo, a réaffirmé le soutien du gouvernement gabonais à cette initiative, qui permet de rappeler aux jeunes filles et aux femmes, l’importance de se former et de se tenir informé des mesures prises en faveur du développement socioéconomique des femmes, visant son autonomisation.

 

La 2ème édition des ‘’Antô winners days’’ qui avaient pour thème « Femme gagnante, de la vision à la réalisation », a débuté ce vendredi 26 avril à Libreville. Une occasion pour le ministre de la Famille, et de la décennie de la femme, Estelle Ondo, de rappeler à l’assistance la nécessité de l’adéquation entre les actions menées par la plateforme Antô winners et le plan décennal pour l’autonomisation de la femme, mis en place par le gouvernement, dans le cadre de la décennie de la femme 2015-2025.

 

« Ce plan décennal comporte un certain nombre d’objectifs dont les principaux sont les suivants : renforcer le cadre juridique relatif aux droits des femmes et des filles gabonaises, et favoriser leur accès aux services judiciaires et à la protection juridique. Favoriser l’accès équitable des femmes et des filles aux facteurs de production et aux opportunités requises pour leur autonomisation économique. Promouvoir un développement humain et social égalitaire au profit des femmes et des filles gabonaises. Développer les capacités d’organisation, de participation, de représentation et d’influence des femmes et des filles gabonaises dans les instances de décision politique, administrative et sociale », a déclaré le ministre Estelle Ondo.

 

A cet effet, le membre du gouvernement a souhaité que les thèmes développés en ateliers, puissent contribuer à inculquer la mentalité de battante à la femme et à la jeune fille, et qu’elles induiront, à terme, un comportement positif permettant à la femme gabonaise « de s’affirmer comme une femme de vision et surtout d’action, pour devenir finalement cette femme gagnante dont nous rêvons tant ».

 

James RHANDAL

 

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