Gabon : Le FPJ installe sa coordination du 3e arrondissement de Libreville
LIBREVILLE (Equateur) – Le parti politique Front populaire de la jeunesse (FPJ, centriste) a animé une causerie politique samedi 27 mai dernier au quartier Akebe poteaux dans le 3e arrondissement de la capitale gabonaise, avant de procéder à l’installation de sa coordination.
Au cours de l’installation de la coordination du 3e arrondissement du Front populaire de la jeunesse (FPJ), le responsable national de la communication, Gaël Biteghe, a affirmé que sa formation politique qui se veut proche de la jeunesse gabonaise, est prête à travailler avec toutes les tendances politiques du pays.
« Si un opposant travaille bien, nous pouvons travailler ensemble. Si un pdgiste travaille bien, nous pouvons également travailler ensemble pour le pays. Nous sommes prêts à travailler avec tout le monde, sauf avec ceux qui pillent le pays, ceux qui mentent à la jeunesse tous les jours. On refuse ! Nous avons décidé qu’aujourd’hui, la jeunesse doit se prendre en main », a-t-il déclaré.
C’est donc afin de répondre à leur ambition, celle de défendre la cause de la jeunesse gabonaise, que le FPJ a installé des coordinations dans chaque arrondissement et dans chaque province du Gabon. D’après le FPJ, il n’est plus question que la jeunesse soit écartée de la scène politique, alors qu’elle représente plus de 70% de la population gabonaise.
« Nous avons été tous dans les partis politiques. Nous avons fait le travail pour les partis politiques classiques de nos aînés, et à chaque fois, nous avons été les grands perdants. Aujourd’hui, nous avons décidé de nous doter de notre instrument politique, qui est le Front populaire de la jeunesse. Nous allons dans les quartiers, dans les arrondissements, dans les provinces pour appeler le maximum de jeunes à nous rejoindre, afin que les jeunes soient des acteurs politiques », a martelé Gaël Biteghe.
Au cours de leur périple, les responsables du FPJ ont encouragé les jeunes à aller s’inscrire massivement sur les listes électorales.
Cynthia NTSAME